Peux-tu te présenter et nous présenter Paradoxal Surfboards ?
Je m’appelle Jérémy LUCAS, j’ai 35 ans, je suis originaire de Douarnenez dans le Finistère.
Au cours de ces 15 dernières années, j’ai beaucoup voyagé et c’est notamment en Australie que j’ai commencé le surf en 2011. Après des études orientées dans le commerce, j’ai eu un parcours très atypique, mêlant de très nombreux métiers parfois même éloignés de part leurs domaines, dans le publique, le privé ou l’associatif.
J’ai d’ailleurs co-crée deux associations sur Douarnenez (l’une dans le skateboard et l’autre dans l’environnement) et une autre Start up en 2019 et l’idée de faire un surf en algues vertes d’échouages apparaît à ce moment. Pour savoir comment m’est venu l’idée je vous invite à vous rendre sur le site paradoxalsurfboards.com tout y est !
Le projet reste en stand bye pendant 18 mois. Pendant ce temps-là j’ai été missionné au Commissariat à l’Énergie Atomique, poste qui s’est achevé en Mars 2023. C’est à ce moment-là que je décide de relancer Le projet de planches de surf. Paradoxal Surfboards est la résultante de l’ensemble de ces savoir-faire acquis au cours de ces dernières années et de ma passion depuis une douzaine d’années, le surf.
PARADOXAL SURFBOARDS conçoit, fabrique et commercialise des planches de surf imprimées en 3D en utilisant de l’algue verte d’échouage bretonne comme substitut aux matériaux faits à partir de pétrole communément utilisé dans la fabrication traditionnelle de planches de surf dans l’industrie de ce sport.
Le polystyrène ou le polyuréthane sont les deux matériaux utilisés dans la quasi-totalité des planches de surf dans le monde. Ils sont toxiques pour l’environnement, énergivore à produire, cancérigènes pour l’homme et proviennent de très loin.
PARADOXAL SURBOARDS propose des planches de surf haut de gamme, à la fois 100% biosourcée et 100% bretonne.